Massiac ( Cantal ) Chapelle Sainte-Madeleine , intérieur
Photos prises entre les grilles
Les couchers de soleil, la nature, les animaux, tous les véhicules, nos villes et leurs monuments : photo après photo vous aimeriez partager cela avec des amis sans querelles d’experts en réglages. Vous êtes à la bonne adresse ! Photos personnelles uniquement. Les édifices du pouvoir ou des religions sont acceptés, mais les idées politiques ou religieuses ne le sont pas. Non plus les insultes ni la haine: politique, religieuse, raciste, sexiste, homophobe …ni les demoiselles accueillantes.
Il y a de beaux restes de peintures dans cette petite chapelle...
RépondreSupprimerjolie chapelle
RépondreSupprimervu sur internet
RépondreSupprimerL’histoire de la chapelle est liée à celle des seigneurs du village voisin de Chalet. Ce dernier s’appelait auparavant "Chalès le Chastel". Le nom de Chalès vient de l’ibère "cala" qui veut signifie forteresse de pierre. Cet édifice n’a jamais été église paroissiale, c’était à l’origine la chapelle d’un petit château féodal construit par les seigneurs de Mercœur. Celui-ci se trouvait à l’aplomb de l’éperon basaltique qui surplombe la vallée de l’Alagnon. La situation du château était stratégique. Il se trouvait à deux kilomètres de la voie romaine Gergovie-Toulouse et occupait une place défensive très importante. La chapelle était située face à la porte d’entrée du château et à l’extrémité d’une petite cour intérieure.
Le 1er décembre 1471 Guillaume de Flageac, abbé de Pébrac, vint bénir l’édifice en compagnie de Monseigneur l’évêque de Saint-Flour Antoine de Léotoing-Montgon. Celui-ci était en résidence au château de Chalès. Le 4 décembre 1482, Antoine de Léotoing-Montgon mourait au château alors que la peste sévissait à Saint-Flour. Il fut enterré en grandes pompes dans l’enfeu de basalte du caveau situé à droite de l’hôtel. La dépouille fut ensuite transférée par ses neveux dans le caveau de la cathédrale.
Tu as bien appris ta leçon , mais connais-tu la légende
SupprimerLa légende raconte qu’autrefois deux anachorètes, saint Victor et sainte Madeleine vivaient en ermites chacun sur un des deux rochers qui se font face. Ils éprouvèrent le besoin de deviser sur des sujets religieux mais ils ne voulaient pas se rencontrer physiquement. La sainte a alors tendu son chapelet jusqu’au rocher d’en face.